Maiya arrive à la porte de l'hopital , un petit sourire forcé aux lèvres, on voit très bien dans son regard qu'elle est inquiète, et qu'elle a mal au ventre, vraiment très beaucoup mal --'.

- Eeeu je croit que je vais accoucher . . . Annonça-t-elle à la secrétaire

Le jeune demoiselle la conduit alors au service maternatée . Elle lui demanda d'attendre et elle alla parler au médacin . . . elle entendit quelques peu la conversation mais été trop fatiguée pour décritpter . . .

- Je vais vous conduire en salle d'accouchement .
- D'accord , mais euu, faites vite *o*

Elle suivit le médécin et s'installa sur un lit ...

[[ J'vais pas vous décrire l'accouchement quand même haaaain x) ]]

Maiya fut émervaillée par le petit bébé que l'on venait de lui déposer dans les main . C'est un petit garçone de taille normale , et tout à fait normale , à priori .
Elle lui sourit . . .


- Nous allons aller laver le bébé madame, veuillez-patienter ... Avez vous réfléchit au prénom ?

[[Oui, je sais , sur la photo , le bébé est déjà lavé , mais allez trouver une image avec un béébé qui sor du ventre vous èé ]]

Quand l'hôpital avait appeler Fûka, disant qu'une amie à elle accouchait, elle n'avait pas tout de suite réaliser le truc...

-Quoiii ?? Une amie à moi ? Vous êtes sûre ?
-Oui *bruits de feuilles* une certaine... Isu... Isu Maiya.

Fûka était estomaqué.

-J'arrive !

Elle monta sur son balai et se précipita à l'hôpital. Elle ne prit même pas la peine d'aller se cacher et atterrit devant une foule ébahit. Elle entra dans l'hôpital et courut au service maternité.
Là, Aiy serrait son bébé contre son coeur en lui souriant tendrement. Elle n'aperçut pas Fûka qui s'était assise à coté d'elle. Fûka sourit timidement au bébé et fit sursauter Maiya en lui disant :

-Aiy... Ce bébé est magnifique.

Fûka plongea ses yeux bleus dans ceux de Aiy :

-Comment ce p'tit chou est né ?

Meïko Komasaki avait rencontré une certaine Maiya Isu en classe, alors que celle ci faisait quelques bêtises. Lorsqu'elle repensait à ce jour, Meïko ne pouvait s'empêcher de sourire tendrement. Cette fameuse Maiya Isu comptait à présent pour elle, même si, par le fait qu'elle ne souhaitait pas se faire d'ami, elle ne lui avait pas reparler, cette file restait inscrite en elle.
Or, un beau jour, elle la vit, très affaiblie, marcher en direction de l'hôpital. Maiya ne remarqua même pas Meïko, elle tenait son ventre et avait l'air de souffrir. Meïko ne dit rien lorsqu'elle la vu passer, mais, inquiète, elle décida de la suivre. Elle n'osa pas l'aborder, jusqu'à qu'elle entre dans l'hôpital, où, trop inquiète, Meïko se décida à lui parler.
Au moment ou elle allait la toucher, un brancard suivit d'une foule d'urgentistes et d'infirmiers la bouscula gravement en entrant à grande vitesse dans le bâtiment. Le temps que Meïko reprenne légèrement ses esprits, il était trop tard, Maiya Isu avait disparue. Inquiète, Meïko voulu demander à l'accueil, mais elle n'en trouvait pas la force. Depuis "l'incident', Meïko n'aimait pas les hôpitaux. Ces murs blancs, ces gens qui souffraient, tout cela lui déplaisait. Elle se mit à trembler sans le vouloir, de se retrouver dans ce hall d'accueil. Finalement elle sortit, puis rerentra, puis resortit. Son petit manège d'incertitudes dura presque une heure, jusqu'au moment où elle se décida à demander à quelqu'un. Avec beaucoup de conviction, elle demanda à la secrétaire :

_La..la.. Maiya Isu !

La femme fut interpellée une seconde et regarda Meïko comme si un extra terrestre venait de débarquer.

_Hum.. Une jeune fille de ce nom est actuellement dans la salle d'accouchement no3 mais...

Meïko n'attendit pas la suite et se dirigea, tel un robot, vers un couloir puis tourna dans un autre. Elle ne voulais demander son chemin à personne, ni croiser le regard de personne. Elle marcha donc, marcha, fit des tours et des détours.
Et puis elle finit par arriver près d'une salle d'où l'on entendait s'échapper des cris de bébés. Non loin de la porte, deux infirmières discutaient à voix basse. Le fait que Meïko est entendu leur conversation n'étais absolument pas intentionnel. Elle essayait de regarder vers la fenêtre pleine de buée lorsqu'elle les entendit parler.

_Tu te rends compte ? chuchota l'une, c'est une gamine ! Je lui donne même pas 16 ans !
_Oh, tu crois ? Tu lui as demandé ses papiers ?
_Bien sûr que non, pas pour l'instant, mais si elle veut attesté d'avoir accouché dans cette clinique, il faut qu'elle remplisse des papiers !
_C'est peut être une victime de... la femme baissa encore plus le ton, viol ?

Meïko compris en un instant que la jeune fille qui se trouvait dans cette pièce était Maiya Isu. Le choc fut rude pour elle. Elle ignorait complètement qu'elle était enceinte. A 14 ans à peine ? Meïko se sentit un peu trahie au fond d'elle, sans le vouloir vraiment. Un peu triste aussi. Elle a envie d'aller la voir, mais que lui dira t-elle ? Et puis Maiya n'a sûrement aucune envie de la voir.
Elle allait repartir tristement, le regard au sol, lorsqu'elle remarqua une petite fille qui entrait vivement dans la salle. Ayant laissé la porte à demi ouverte, Meïko tendit un peu l'oreille. Visiblement, la petite fille était une amie de Maiya. Et effectivement, celle ci avait bien accouché.

Entrer ? Ne pas entrer ? Si une amie va la voir, pourquoi pas moi ? se dit Meïko.

Maiya ne savait pas trop quoi faire , rire ... ou pleurer , crier ... ou se taire ?! Elle tenait toujours le bébé dans ses bras , tel un glaçons, elle ne bougeait pas . Elle songea un instant à l'abandonner , mais c'est son bébé ! Ce pourquoi elle s'est battu pendant si longtemps ! Mais elle ne pû s'empêcher de regarder un instant par la fenêtre d'où elle aperçu Fûka . Elle s'écria :

- Fuûûûûûka ! Entre !

Fûka entra et s'assit à coté de Aiy, un sourire flottant sur ses lèvres.
Elle félicita son amie, celle avec laquelle elle s'entendait le mieux dans la pension :

-Il est magnifique ! Comment vas-tu l'appeler ?

Fûka sourit au bébé qui gazouilla. Devant un spectacle si attendrissant, son masque impassbile tombait :

-Je peux le prendre dans mes bras ?

Maiya Sourit à Fûka, son amie fidèle. Elle lui tendit le bébé avce un sourire toujours aussi expressif sur les lèvres. Cette dernière aimait les enfants et ça se voyait, elle positionna ses main si bien, et le pris si délicatement qu'on aurait dit qu'elle avait fait ça toute sa vie. Elle la regarda et lui dit :

-Leïko, ça sera Leïko


[[ - Manque d'inspi ]]

Toujours cachée derrière la porte de la chambre, Meïko espionnait Maiya et son amie, une certaine Fûka, qu'elle se souvenait désormais avoir croisé dans les couloirs de la pension. Les deux infirmières qu'elle avait malgré elle espionnée étaient parties, tout en continuant leurs commérages.
Mais Meïko avait cessé de les écouter. La conversation qui l'absorbait maintenant était celle des deux personnes à l'intérieur de cette pièce.

-Il est magnifique ! Comment vas-tu l'appeler ? Je peux le prendre dans mes bras ? demanda Fûka.
-Leïko, ça sera Leïko, répondit la jeune maman.

Le cour de Meïko bondit. Leïko ? C'était presque son prénom. Etait-ce un hasard ?
Puis Meïko se demanda si elle devait entrer et se déclarer, ou si elle ferait mieux de repartir en silence et de faire comme si de rien n'était. En pleine réflexion, elle n'entendit pas les pas qui s'approchaient d'elle puis qui s'arrêtèrent face à elle. C'était un médecin, vu sa blouse blanche, et à peine Meïko avait elle posé les yeux sur lui qu'il prit la parole, haut et fort, si bien que Maiya et Fûka purent très clairement l'entendre.

-Et bien mademoiselle ? Qu'est ce que vous faîtes ici ? Vous n'entrez pas ?

[Je m'incruste.]

Par bouche à oreille, Akimito Fumei avait entendu dire qu'une des pensionnaires étaient à l'hôpital, pour elle ne savait même pas qu'elle raison.
Comme elle n'avait rien à faire aujourd'hui, et qu'elle redoutait qu'il soit arrivé quelque chose de grave à une de ses amies, elle c'était nonchalamment dirigé vers l'hôpital en question. Rien ne pressait, après tout, elle voulait juste vérifier si tout allait bien et repartir. Une petite balade de santé en sorte.
Elle pensait à des choses et d'autres, était-ce Arimi ? Si oui, là, ce serait grave. Mais non, Arimi serait sûrement allé la voir elle pour se soigner, elle connaissait ses dons...Et si c'était Akuma ? Non, non, bien trop forte pour ça cette démone. Tanaranth peut-être ? Impossible, c'était un ectoplasme...
Elle s'amusa à revoir dans sa tête tous les pensionnaires qu'elle connaissait, et à se demander si ça pouvait être elle, ou elle, ou elle, ou lui...quand elle aperçut le grand bâtiment blanc se dressait devant elle.

Je n'aime vraiment pas les hôpitaux, grogna Kara.
Tant pis, parce que j'entre.

Et illustrant le geste à sa pensée, elle franchit les grandes portes battantes.
Il régnait dans les hôpitaux une odeur vraiment spécial...de médicaments, de vieux, de nourriture...qu'elle ne supportait pas vraiment. Elle eut un petit pincement au coeur. Non, elle non plus, elle n'aimait vraiment pas l'hôpital. Elle se dirigea cependant vers l'accueil, ou une jeune femme en uniforme lui adressa la parole.

_Bonjour, que puis-je faire pour toi ma chérie ?

Aki eut envie de lui fermer le clapet direct. Haa, cette voix haut-perché, ces cheveux blonds, cette grosse poitrine et cet air supérieur...et elle se permettait de lui parler comme ça !
Elle reprit doucement son calme et leva la tête, car elle n'atteignait que péniblement la taille du bureau de l'accueil.

_Y a-t-il ici une pensionnaire de la pension Shiinu ?
_Je crois mon coeur, une certaine....

Elle fouilla dans divers fichiers, tandis que Aki essayait péniblement de ce contenir.

_Maiya Isu. Salle d'accouchement numéro 3. Mais ma cocote, tu dois être accompagnée de tes parents si tu veux rendre visite à quelqu'un...

Là, ce fut trop, par une coïncidence des plus extraordinaires, l'ordinateur de la jeune demoiselle prit feu. Coïncidence extraordinaire, hein ?
La petite démone en profita pour s'éclipser vers les couloirs de la salle d'accouchement. Elle ne connaissait pas cette Maiya, ce qui l'embêtait bien, mais cette histoire d'accouchement l'intriguait. Et elle ne voulait pas avoir fait toute cette route pour rien.
Elle marcha dans le long couloir blanc, retenant la peur qu'elle avait de ce genre d'endroit, et vit enfin la salle numéro 3.
Une jeune femme très belle, aux yeux bleus et aux cheveux roux, attendaient devant la porte. Elle semblait indécise, et discutait avec un médecin.
La petite démone s'approcha un peu plus, et elle sentit la présence de Fûka à l'intérieur de la pièce.
Ne faisant pas attention à la femme debout, elle entrouvrit la porte.

_Hum. Bonjour ! Akimito Fumei. J'ai entendu vent de l'accouchement d'un pensionnaire, ça ma intrigué...Ha, salut, Hirakawa.

Lorsque Fûka entendit le médecin inviter quelqu'un à entrer dans la chambre, elle se demanda qui sa pouvait être. Et lorsqu'elle vit Akimito débarquer, elle faillit lacher le bébé de surprise.

_Hum. Bonjour ! Akimito Fumei. J'ai entendu vent de l'accouchement d'un pensionnaire, ça ma intrigué...Ha, salut, Hirakawa.

*Pourquoi elle ne m'appelle pas Fûka, comme tout le monde. Bon, si c'est comme ça...*

Fûka répondit :

-Salut, Fumeï. Je te présente Maiya, heureuse maman de Leïko. Fûka désigne tour à tour la maman et le bébé.

Il est difficile, même pour une démone aussi froide qu'Aki, de résister au miracle de la vie. Miracle qu'elle ne connaîtra jamais ! Car même si elle a repris une croissance plus ou moins normal, et qu'un jour elle deviendra adulte (ou pas ...? ), qui voudrait un enfant d'elle ? Et elle, voudrait-elle un enfant ? Non, non, c'était trop de responsabilité, et puis il la gênerait plus qu'autre choses.
Elle posa son regard sur Maiya. Elle, une mère ? Mais...elle ne devait même pas avoir seize ans ! Mais elle avait l'air si heureuse en regardant tendrement son enfant, qui reposait dans les bras de Fûka, que même Aki fut touchée.
Son oeil rouge s'assombrit un peu devant un tel spectacle, et elle s'autorisa un mini-sourire et une petite blague :

-Fais attention Fûka, tu vas lui transmettre ton merveilleux sens de l'orientation !

Blague qui se voulait innocente bien sur. Au fait, avez-vous remarqué qu'elle l'appelait de nouveau Fûka ? Et oui, ça c'était Aki. Caractère instable, gentille et drôle puis froide et sèche.
Le petite bébé était magnifique. Leïko...ça c'était un joli prénom.

-Ha ! s'exclama Aki. Ce prénom me fait penser qu'il y a une jeune fille devant la porte, je crois qu'elle s'appelle Meïko ! Et sinon Isu-san..hum...félicitations..

Meïko eu à peine le temps de dire au médecin "Mais chuuuut" qu'une petite fille au cheveux noirs entra vivement dans la chambre d'hôpital accordant un bref regard à Meïko. Le médecin voulu lui adresser la parole mais elle avait déjà refermer la porte derrière elle. Meïko tendit l'oreille vers la porte. Les trois jeunes filles parlaient du bébé, toutes avec tendresse. Cela donna très envie à Meïko d'entrer, ne serai ce que pour se joindre à se joyeux rassemblement. Mais très vite elle revient à ses esprits et se rendit compte que le médecin la regardait avec mécontentement.

-Est ce qu'on pourrait m'expliquer ce qui se passe dans cette chambre ? Les salles d'accouchements sont interdites aux enfants, à part la famille !

Meïko ne répondit rien mais ne put s'empêcher de rire intérieurement. Ce que disait le médecin n'avait pas de sens, dans une salle d'accouchement naissant les enfants, alors comment pouvaient-ils être interdits ?
Tout en pensant à ceci, elle vit entrer deux jeunes garçons eux aussi dans la salle. Meïko les regarda avec méfiance, ils ne lui inspiraient pas confiance, mais plutôt un certain dégoût. Ils entrèrent en silence sans prêter attention aux deux autres personnes. Le médecin voulu les interpeller, mais tout comme avec la fille aux cheveux noirs, les garçons lui claquèrent la porte au nez. Meïko constata que l'événement que venait de vivre Maiya réunissait pleins de monde, et que la salle d'accouchement devait se trouver transformer en un vrai rassemblement.

-Allez hop, j'entre et je vire tout ce monde, gronda le médecin comme s'il pensait à voix haute.

Mais Meïko lui coupa la parole d'une traite.

-Vous n'auriez pas un stylo ? demanda t-elle.
-Euh.. répondit-t-il en sortant un crayon de sa poche, mais pourquoi veux-tu...
-Merci ! Coupa encore une fois Meïko.

Elle saisit vivement le stylo et tira de sa poche et petit morceau de papier froissé où elle griffonna rapidement :

"Félicitations Maiya.
Meïko"

Puis elle sourit au médecin qui semblait totalement dépassé par les événements et glissa en un éclair le mot sous la porte en tentant de faire un peu de bruit, afin qu'il se remarque.
Puis elle tourna les talons rapidement et quitta les lieux. Lorsqu'elle fut dehors, elle eut un vague regard vers le bâtiment, puis retourna vers la pension.

[Nan mais là quand même merde. On tu pas quelqu'un comme ça, qu'il s'agisse d'un nouveau né ou non ! C'est du gran n'importe quoi là ! En rp, ON NE TUE JAMAIS PERSONNE SANS L'ACCORD DE LA PERSONNE CONSERNEE et là, en l'aucurence, c'set mon bébé et je n'est donné aucun accord. Chose que je voulait gerdée secrète jusqu'ici, Leïko allait, durant l'événement grandir d'un coup et devenir mon deuxième personnage. Mais vous avez tout gâché. Bravo les amis .
Pour moi, Leïko reste vivant . Chacun sa vie .]

Et pis quand vous voyez que la personne qui créé le sujet ne répond pas, arrêtez d'inventez des trucs et de faire le rp à sa place. Vous vouliez me mettre en colère, merci, c'est réussi. J'vous maudit tous.

J'ai double posté. J'men bat les couilles