Hello amis :]
Je crée un sujet (inutile), parce-que j'adore les Légendes Urbaines et je voulais connaitre celles que vous préférez(Souvent c'est archi-faux, mais j'aime sa).
Je commence avec celle que je préfère.

Dans le temps de la seconde guerre mondial, un anglais pars au États-Unis, laissant sa femmes et ces deux enfants seul, afin de pourvoir leur envoyer des vivres. A chaque semaine, il leur envoie une caisse avec ce qu'il ont besoin, et très souvent, de la crème-anglaise, car les enfants adore sa. Après souper, leur mère leur fait a chacun un bol et il ne se le lasse pas. Mais un jour, la poudre servant a faire le dessert semble étrange. La mère décide de quand-même la préparer. Mais l'aspect n'est pas exactement pareil qu'a l'habitude. Mais elle ce dit qu'elle la donnera quand-même a ces enfants. La mixture s'avère infecte, et il jette tous. Un semaine plus tard il reçoive un lettre dans la boite de vivre. Celle-ci disait: "Cher M.Smith (non fictif), nous vous avons parvenir un pot la semaine dernière. Nous somme désoler de ne pas vous avoir prévenue avant, mais ce pot contenait les cendres de votre mari"

Omg. C'est immonde. XDD

Mon dieu, qu'elle horreur, cette histoire est vraiment vraie ?

Non elle est fausse. x)

HAHAHA C'est horrible ! XD C'est là qu'on comprend le sens de la phrase de réconfort :
"Mais non chérie, Papa n'est pas vraiment mort, il restera toujours en toi !" (a)
Bouh, affreux. :/

C'est une blague de très mauvais goût. =(

Aki tu te trompes ça fini bien par ressortir un jour... //sbaff//
bah c'est horrible oui, mais moi perso ça me fait rien du tout, dans tout les cas c'est pas possible, je veux dire la meuf ce serait bien rendu compte que c'était pas de la crème anglaise... Enfin bref xD
Vive les légendes urbaines. Perso j'en connais pas ;(

Moi non plus j'en connais pas...
Où tu trouves des légendes urbaines Kizu ?

Moi j'en connais. Mais mieux vaut pas que je m'en rappelle, sinon je dors plus. XD *PAN*

Mais si Tanouille, dit ! :D
J'en ai trouvé une un peu débile, qui me fait plus penser à une histoire d'horreur enfantine qu'autre chose... mais bon :/

" Une jeune fille se trouvait seule chez elle, sa colocataire l'ayant prévenue qu'elle rentrerait tard. Peu de temps après s'être couchée, la jeune fille entendit, un bruit étrange provenant du couloir. Elle se précipita dans la salle de bain, et verrouilla la porte. Elle était effrayée, d'autant plus que le bruit se rapprochait de la porte. Peu de temps après, les bruits cessèrent, mais la jeune fille effrayée ne pu se résoudre à quitter la salle de bain.

Le lendemain matin, lorsqu'elle se décida enfin à sortir, elle trouva sa colocataire, morte, la gorge tranchée. Ses mains étaient ensanglantées, et ses ongles avaient laissés de traces sur la porte de la salle bain (d'où le bruit...). "

C'était dans un charmant hôtel en bord de rivière, la Marcq (oui, ici, dans le 59). Un journaliste y entre, pour écrire un article dans son journal. Evidemment, les propriétaires lui font tous les honneurs possible, un repas magnifique et lui donnent la plus belle chambre : la n°26.
La chambre se situait au deuxième étage, juste en dessous de celle des propriétaires. Ainsi, la femme qui tenait l'hôtel pouvait intervenir à toute demande du client. La n°26 n'avait jamais été utilisée : elle venait en effet d'être rénovée. La journaliste apprit par quelques voisins médisants que cette pièce avait été la chambre d'une jeune femme qui s'était fait violer par un serial killer puis noyée dans la Marcq. Des traces de sang séché et d'autres choses indéfinissables étaient longuement restés sur les murs, comme un temple à la mémoire de la jeune fille.
Le soir, alors que son mari était parti au bistrot du coin avec quelques amis, la propriétaire entendit des pas dans le couloir du dessus. Elle prit une lampe de poche et alla voir de qui il s'agissait. Là, elle aperçut une magnifique jeune fille aux cheveux blonds comme les blés, à la peau pâle comme la porcelaine et aux yeux bleus d'azur gratter à la porte du journaliste. La propriétaire sourit et alla se rendormir. Elle entendit quelques gémissement au dessus d'elle mais ne s'en étonna pas.
Le lendemain, on retrouva le corps du journaliste flotter sur la Marcq. La chambre avait retrouvé son état originel, les meubles étaient drapés d'un voile blanc et, sur le mur surplombant le lit, il était marqué au sang séché le mot Vengeance.

Je préfère largement celle de Fûka. :O Je vais tenter d'en écrire une, tiens.

Ben sa ce trouve sur des sites, mais souvent c'est de bouche a oreille.
Ou des fois y a des émissions (J'ai trouver la mienne dedans).
Mais j'étais pas au courant que c'était pas rependu en France se mouvement

Et les mails que vous recevez, genre "Vous mourrez si vous envoyer pas le messages" ce sont des légendes urbaines aussi

Certains, comme le cas de Michel P., auront toujours en mémoire le souvenir de cette rencontre énigmatique qui fait souvent froid dans le dos ! C'est en 1979 que Michel fait route vers Limoges un soir d'hiver et qu'il distingue en plein virage une forme blanche près d'une discothèque : Abordant une jeune femme d'environ une vingtaine d'années, notre témoin très naturellement lui demande où souhaite-t-elle aller à une heure si tardive : "A Limoges, chez des amis si ça ne vous ennuie pas, ne vous en faites pas je me débrouillerai là-bas..."

Jusqu'ici, rien de bien invraisemblable pour Michel P. La jeune auto-stoppeuse prend donc place à l'avant tout naturellement. L'automobiliste témoignera du profond mutisme de la jeune fille qui semble tout droit sortir d'un film des années sixties, de par la robe qu'elle porte... La route se poursuit ainsi tranquillement jusqu'à l'approche d'un autre virage, au Pont de la révolution : c'est à ce moment précis que notre jeune passagère semble effrayée soudain, lançant plaintivement à Michel de négocier prudemment ce fameux virage, ce qu'il fait bien évidemment... Soudain, un cri déchire la nuit, faisant sursauter l'automobiliste qui en tournant la tête vers son étrange passagère, s'aperçoit que celle-ci s'est en quelque sorte "dissoute dans l'atmosphère" !

C'est en stoppant tout net son véhicule et animé d'un sentiment de stupeur et de terreur que Michel P. constate en descendant que, décidément, il ne reste que le brouillard d'une glaciale nuit hivernale : il est tout seul...

Pas un seul témoin ne pourra attester de sa bonne fois. Mais Michel ne se désarme pas, il compte bien témoigner de son étrange et sinistre aventure. Arrivé à Limoges il fait sa déposition à la gendarmerie où on lui confirme qu'il n'est pas le seul à avoir fait la rencontre nocturne d'une auto-stoppeuse fantôme !

Plusieurs cas ont en effet été déjà signalés de nombreuses fois au fameux Pont de la révolution, qui fut témoin de la mort d'une jeune femme, accidentée en voiture 20 ans plus tôt... Michel P. ressent sans doute à ce moment-là un profond soulagement : ainsi, d'autres automobilistes ont vécu comme lui cet étrange épisode fantomatique, ce qui ne l'empêche pas d'être bouleversé, on le comprend, par cette rencontre fort singulière.

Tirée d'un site internet.

Ouais, elle connue celle-la, mais j'aime bien =)
Il existe plusieurs version, dont une au Canada que j'ai du lire pour un travail de français.

Mais celle-la j'y crois pas.

Personnellement, j'ai jamais cru à ce genre de trucs... J'ai brisé tellement de chaînes msn que ma vie devrait depuis longtemps être un désert sentimental, je devrais avoir perdu 50 de mes amis et que la dame blanche devrait venir me tuer la prochaine fois que je me regarderais dans un miroir Uu'