Promenade ... Banal ? [ PV Suki .]

Thome était sorti de la pension pour respirer l'air frais . Dans la pension une curieuse odeur de renfermée & une ambiance infernale rendait le lieu hostile . Un livre & un curieux cahier sous le bras, son casque posé soigneusement posé sur les oreilles il était sorti . Il avait emprunté beaucoup de couloir, & après quelques minutes avait enfin trouvé la sortie . Enfin, il n'était pas encore sortie, il était dans la véranda, une grande pièce très éclairé, contenant beaucoup de plante, & une immense quantité de papillons et autre petit bestiole . Un lieu magnifique au yeux du jeune écologue, il parcourra les rangé de plante pendant quelques minute, regardant chaque plante, chaque insectes . Tout d'un coup, il trouva une fleur magnifique avec comme décorations un jolie papillons, le jeune homme qui se déplace pas sans un cahier à dessin, attendrît par le tableau, s'assît en tailleur en face de cette merveille & commença à dessiner la merveille . La musique à fond, il commença par dessiner le pot de la fleur, s'appliquant pour chaque détail, il créa une ombre à l'objet, puis dessina la racine, les premières feuille, les bourdons, les pétales, le centre de la fleur, puis avec une hautain plus grande précision dessina le jolie papillon . Une fois fini, il observa son dessin ; Il était magnifique, il en était très fière, sa se voyait, il souriait d'un grand sourire radieux .

- Je me demande si, Melissa est par là, à tient quelqu'un, hum, trop chelou ce mec, faut que je me casse discrétos ;

Une voix, encore une voix . Une voix qui sortait tout droit de son satané don, une voix qui sortait tout droit de l'esprit d'une jeune fille qui ne cessait de l'observé de l'autre coté de la véranda, [ SENÉPASUKI :D ] . Thome leva la tête lui adressa un sourire, mais la jeune fille méfiante parti . Le jeune homme déposa son regard sur son livre, un livre écrit par Audrey Tautou, un livre philosophe sur la vie de l'être humain . Un livre qui passionné le jeune homme, tous ce qui concerné l'être vivant passionné Thome . Même si cela ne lui était pas d'une grande utilité sa le passionné . S'appuyant contre les parois de la véranda, & commença à chercher la page où il en était . Ah ! La voilà, Chapitre 12 ; L'homme & son comportement en vers les autres . L'homme agit sans savoir ce que l'autre pense de lui, c'est pourquoi quand l'homme veut plaire il essayes de montré toute ses capacités . Thome eu un léger sourire en coin, l'avantage que Thomes possédait, c'est celui-là . Il n'à pas besoin de montré aux autres tout ses qualités, il montre aux autres ce que les autres veulent voir . Thomes feuilleta gentiment le bouquin, mais à bout d'envie, fît un petit crochet en haut de la page & referma le livre . Thomes se leva, & prit le chemin pour sortir de la véranda, mais perdue dans ses pensées il heurta quelqu'un .

- Oh Pardon !

dit-il .

"Oh Goood. Ça existe un mec aussi beau ?"

Vas te faire foutre.

Ce fut les derniers mots que Suki adressa à son père avant de raccrocher. Oui, qu'il aille se faire foutre. Alors c'était de sa faute, maintenant ? Avait-elle seulement quoi que ce soit à voir avec la mort de son frère ? Comment aurait elle pu faire une telle chose à son propre jumeau ? C'était plutôt la faute du paternel, si quelqu'un était fautif - en prenant bien en compte que le "si" est un mot pivot. C'était lui qui ne s'était pas correctement occupé de Sunao. La jeune neko savait parfaitement qu'elle n'y était pour rien, et pourtant, les paroles de son père résonnaient encore dans son esprit ; "Si tu n'étais pas partie, on n'en serait pas là !" Mais Suki n'était pas pour autant d'humeur à pleurer la mort de son frère.
De rage, la jeune femme envoya un coup de pied dans un livre qui traînait par terre. Elle ne culpabilisa même pas lorsqu'elle s'aperçut que le livre - maintenant dans un sale état - appartenait à Ito. De toute manière, elle laissait toujours traîner ses affaires. *Pardonne moi, Itou ♥* Mais quel con. Ok, il avait le droit d'être triste, même désespéré, pour ça elle le comprenait. Essayer de trouver une raison à sa mort, ça aussi elle le comprenait. Mais l'accuser, elle... ? De toute manière, elle venait d'une famille de dégénérés. Tous des tarés. Tous des suicidaires.
Suki attrapa son vieux mp3 et vissa les écouteurs sur ses oreilles. Elle passa les musiques jusqu'à la playlist que lui avait composée sa meilleure amie et colocataire, qui avait toujours pour don de la réconforter quand elle était triste, de la calmer lorsqu'elle s'énervait ou simplement de la faire sourire de plus belle lorsque tout allait bien. Elle monta le son au maximum et se laissa envahir par la musique. Elle enfila sa veste et enroula une écharpe autour de son cou, puis, après avoir passé cinq bonnes minutes à faire passer le fil des écouteurs par dessus son écharpe, elle sortit du studio. La neko dévala les marches de l'escalier, lassée d'attendre l'ascenseur qui mettait toujours trois heures à arriver. Dès qu'elle poussa la porte d'entrée, le froid pré-hivernal se fit bien sentir. Déjà, ses joues étaient glacées et lui faisaient presque mal. Elle glissa les mains dans ses poches et, plissant les yeux à cause du vent, marcha un peu dans une direction prise au hasard. Ses longs cheveux, comme très souvent détachés volaient au vent. Elle adorait ce temps. Lorsqu'il fait tellement froid que les doigts s'engourdissent, et que des larmes viennent brouiller la vue. C'est donc l'esprit déjà un peu apaisé qu'elle trottina un moment sans destination particulière. Et un certain temps plus tard, elle ne saurait dire s'il se comptait en heures ou en minutes, elle finit par arriver devant le pensionnat. Sans réfléchir, elle y entra et dès qu'elle eut passé la porte d'entrée elle rouvrit sa veste d'un geste machinal, même si elle tremblait de froid. D'un pas toujours aussi déterminé, elle se mit à déambuler dans les couloirs de cette pension qui était l'objet d'accusation de son père. Elle aimait tant cet endroit. Il représentait tant de choses à ses yeux, elle se souvenait de tant de bons moments... Sa colère était un peu retombée. Elle décida de se rendre à la véranda. Il est vrai qu'elle n'y avait pas passé beaucoup de temps, mais cet endroit restait très agréable à ses yeux. Elle arriva là bas d'un bon pas, et, en toute douée qu'elle était, percuta une personne de plein fouet. Elle vacilla sur ses hauts talons, mais réussit à se maintenir debout et leva les yeux sur l'autre "responsable" de cette rencontre relativement brutale. Sa bouche s'ouvrit de quelques millimètres lorsqu'elle vit à qui elle avait affaire.

Oh Goood. Ça existe un mec aussi beau ?

Mais notre Suki se reprit vite et adressa un magnifique sourire au jeune homme lorsqu'il s'excusa.

Non non, c'est moi... Je ne regardais pas où j'allais...

- Non non, c'est moi... Je ne regardais pas où j'allais...

Devant le joyeux sourire de la jeune fille, il n'eut pu s'empêchait de faire quelques manières .

Le jeune homme remarqua que quelques chose était tombé de sa poche lorsqu'ils s'étaient percuté, il ramassa la chose qui n'était en faite qu'une clé . & pendant une petite minute il fixa la clé s'imaginant son appartement, son lit, il en avait envie . Puis dans un regard on ne peu plus coquin il lui rendait la clé . Comment se rapprochait-elle ? Visite de la Pension ? Trop classique . & puis il la connaissait déjà par cœur, la directrice l'avait fait visiter trois fois, pour tout dire, Thome n'avait pas hésiter à lire dans ses pensées . La directrice avait en petit faible pour lui, bon à savoir n'est-ce-pas ? Arrêtons ses blabla inutile, & revenons à notre sujet . Très jolie sujet d'ailleurs, brune au yeux brun, jolie forme, très gentille à ce que voyait Thome . Thome la regardait maintenant dans les yeux, en souriant, il essayait de trouvé des indices sur ce qui pourrait le rapprochait d'elle . En lisant dans ses pensées, il comprit que la jeune fille était triste, plutôt en colère . Voilà, Thome avait trouvé ce qui fallait pour aborder la jeune fille . Fière de lui, il agrandit en peu plus son sourire . Dèjà que la demoiselle le trouvait beau, ce n'était plus qu'une affaire de temps maintenant ; Il fallait juste faire l'idiot qui demandes à la jeune demoiselle en détresse ce qui n'allait pas, & la jeune demoiselle prune tomberait dans le panneau comme n'importe qu'elle demoiselle sous l'emprise de sa beauté . Il répéta le texte plusieurs fois avant d'ouvrir la bouche de quelques centimètres, & de prendre un air ... idiot ?

Dans son esprit, s'était comme ci les dès était lancé, il fallait juste tombé sur les nombres juste pour gagné la gagnotte . Mais le jeune homme ignore que la jeune Neko à plus d'un tour dans son sac . & qui rencontre une personne à son hauteur, ne peut s'empêchait de s'inclinait ?

[J'ai raconté de la merde du début à la fin. xDD]

Suki replaça une mèche de ses cheveux derrière son oreille et le rassura vite, toujours tous sourires ;

Oh, si, je suis pliée en deux de douleur.

La jeune fille avait lancé ça sur un ton sarcastique, mais elle préféra préciser avant de devoir supporter la mine incrédule de son interlocuteur ;

Non, ça va, je n'ai rien.

Sa 'plaisanterie' qui à la base devait être plus ou moins drôle était tombée à plat avant même que le charmant jeune homme n'aie eut le temps de la comprendre. Il se baissa alors pour ramasser les clés qui étaient tombés de la poche de la brunette lors de l'impact. Ses yeux baladeurs de futur pédophile ne quittèrent pas Suki tandis qu'il les lui rendait. Mais, n'étant elle même pas franchement une sainte nitouche, et surtout croyant aux pédophiles comme au Père Noël, elle choisit de ne pas partir en courant. Il semblait être pris dans de très sérieuses réfléxions, puis se reprit soudainement et ré-afficha son magnifique sourire coquin - dites donc, de plus en plus de raisons d'exciter notre neko. Il reprit la parole d'un ton assuré, en bon arrière-penseur qu'il semblait être ;

Vous semblez triste, il y a quelque chose qui ne va pas ?

Suki éclata de rire - seulement en son for intérieur, évidemment, bien qu'un petit sourire narquois se dessina sur ses lèvres sans qu'elle puisse le retenir.

Triste, pas vraiment mon vieux. On devrait plutôt dire que j'ai la haine là, ça se voit pas ? Et puis de toute manière, tu crois vraiment que je vais t'en parler ? Tu t'imagines que je vais te sortir que mon paternel m'accuse d'être la cause du suicide de mon frangin ? Tu te mets le doigt dans l'œil jusqu'au coude.

Les monologues, Suki était extrêmement douée pour en faire, même sans les formuler à voix haute.

Tu sais, c'est pas parce que t'as une belle gueule que je vais te déballer toute ma vie. Et si toutefois j'avais à te parler de moi, je ne commencerais surtout pas par là.

Mais bien sûr, Suki ne lui dit rien de tout cela. Aux inconnus, elle épargnait autant que possible ses grands discours. Elle abrégea à la place par un ;

Vous êtes observateur, en effet je en suis pas au meilleur de ma forme, mais ce n'est pas pour autant que je vais vous laisser prendre le rôle de mon psy. Si vous avez envie de m'analyser un peu, je connais des manières bien plus simple.

Et elle termina par un grand sourire. Bon, d'accord, ce n'était peut-être pas la réponse la plus courte non plus, mais au moins elle avait réussit à ne pas sortir un mot en rapport avec son père.

" Triste, pas vraiment mon vieux. On devrait plutôt dire que j'ai la haine là, ça se voit pas ? Et puis de toute manière, tu crois vraiment que je vais t'en parler ? Tu t'imagines que je vais te sortir que mon paternel m'accuse d'être la cause du suicide de mon frangin ? Tu te mets le doigt dans l'œil jusqu'au coude. Tu sais, c'est pas parce que t'as une belle gueule que je vais te déballer toute ma vie. Et si toutefois j'avais à te parler de moi, je ne commencerais surtout pas par là. "

Thome était très surpris par sa réaction, elle semblait être aussi forte qu'elle dans la séduction . Son sourire changea quelques secondes, on aurait pû dire qu'il éprouver une sorte de dégout, sa n'avait pas marcher, son plan traditionnelle ne marchait plus, il venait d'échouer lamentablement . Il reprît son sourire charmeur devant la réponse de sa "connaissance" . Alors elle voulait jouer à se petit jeux ? Thome rangea dans son sac le stylo qui tenait encore dans la main . Puis dit sans la regarder en continuant d'arranger son sac :

Il eu un petit sourire coquin, qu'elle était stupide de croire qu'elle pourrait s'en sortir, jouer à son jeu devrait être formellement interdit surtout pour une fille de se genre . Quoi de plus dangereux de se frotter à un porc-épic ? Qui s'y frotte s'y pique tout simplement . En la regardant, son sourire grandis, elle avait l'air si faible, si sous sa puissance . Avec une voix blanche il dit ;

Il ôta, à la vitesse grand V, son sac de son épaule -woué, super masculin, le sac en bandoulière - & attrapa le derrière (le cu, hein, pas ... autre chose) de la petite femmelette, il glissa sa main gauche dans la poche arriéré du jean de la jeune fille . De l'autre il saisit l'arrière de sa tête . Il glissa ses lèvres fines le long de les siennes, & déposa un doux baiser . Il écarta doucement sa tête, fît glisser la main qui était derrière sa tête dans l'autre poche de son Jean & déposa tête sur ses épaules . Puis dans un ton vengeur, il récita la phrases qui représentait si bien ce moment

puis il murmura

D'un geste impolie & sûrement pas très catholique, il - lui laicha le coup o-o - déposa un doux baiser dans son cou .

[Tho-thomounet est dans la place . VA TOUT NIQUUUÉÉ TOTOME ♫ ]

Suki, de stupéfaction, ouvrit de grands yeux lorsque cet apprenti pédophile glissa sa main gauche dans la poche arrière de son jean. Elle n'eut même pas le réflexe de prolonger ou simplement de fermer les yeux lorsque leurs lèvres se rencontrèrent. La jeune fille avait beau jouer à l'allumeuse, elle ne serait jamais allée aussi vite. Les deux mains à présent positionnées sur ses fessiers, il lui dit d'une voix peu rassurante ;

- Qui s'y frotte s'y pique... Tu as voulu jouer, j'ai joué.

Mais la jeune neko ne réagissait toujours pas. Elle tentait de trouver comment calmer le jeu. Mais au fond, en avait-elle vraiment envie... ? Ce jeune homme si beau, ayant une voix si belle, ayant les lèvres si douces, les mains chaudes, les gestes emplis de tendresse et... Et Suki balaya bien vite ces pensées. Non, elle n'était pas une fille facile, on ne pouvait pas s'occuper d'elle comme ça sans qu'elle se débatte, bien que ce soit elle qui aie commencé la provocation. Mais avant qu'elle n'aie pu entreprendre quoi que ce soit, il reprit dans un murmure ;

- À ton tour maintenant...

Il assortit ces mots d'un petit coup de langue au niveau du coup de Suki, laquelle ne put retenir un léger frémissement en retour. Cependant elle ne laissa pas ses esprits s'égarer une seconde fois, et réagit au quart de tour. Elle saisit les poignets de l'homme dont elle ne connaissait même pas le nom et sortit ses mains de ses poches de jean. Elle s'écarta ensuite de lui d'un pas et lui envoya une claque sans un regret. Elle ne le frappa pas très fort, mais la volonté y était quand même... Et déjà, une marque rouge se formait sur sa joue gauche. En s'autorisant cette fois à le tutoyer, car lui ne se gênait pas, elle prit alors la parole d'un ton où perçait l'énervement.

- Non mais pour qui tu te prends ? Tu penses que, parce que t'es bien foutu, tu peux te permettre de faire des attouchements à n'importe quelle fille qui t'aurait sourit ? Ok, j'y suis peut-être un peu pour quelque chose, mais c'est pas parce que j'allume un peu un mec que je veux qu'il me saute dessus.

La jeune femme marqua une pause puis reprit d'une voix un soupçon ironique.

- Tu peux comprendre ça, ou tu es trop obsédé sexuellement pour te rendre compte que ce que tu viens de faire a constitué en gestes très déplacés ?

En même temps que sa voix se faisait entendre dans la véranda, Suki aurait aimé la ravaler. Sa dernière phrase était un peu "limite", il faut l'avouer... D'accord, il avait tranquillement posé ses mains sur son derrière, l'avait embrassée et lui avait léché le cou, mais ce n'était peut-être pas un violeur pour autant - ni un obsédé sexuel. Mais, comme à son habitude, lorsqu'il s'agissait de remettre quelqu'un à sa place, la miss ne prenait pas de gants.