& Toi ?
	Nom ou surnom; Manon Age; 12 ans. Pays, ville; France, Villeneuve d'Ascq. Compétence RP's environ; 20 à 30 lignes, et plus si je suis motivée. Blablatage(s); Je refais une nouvelle présentation d'Ami 8'D !

& Idendity ?

Surnom; Ami '^'. (Ou Aùo 8D !) Age & date de naissance; 11 Août 1993. Donc, 16 ans. Sexe; Féminin. Situation; Bisexuelle. Groupes; Loups-Garouuuuuus ><" !

& Description ?

" Les rayons de la lune éclairent le soir pâle, Les ombres dansent et s'étirent dans la forêt, Le vent siffle dans les arbres, tel un râle, Annonçant la venue de l'obscurité. Une jeune fille s'avance dans la plaine, Le regard mélancolique et résigné, Le sang bat douloureusement dans ses veines, Ses cheveux mauves virevoltent, agités. Une jeune louve coure parmi les troncs, Ses pupilles dilatées perçant la nuit, Peu à peu, elle s'éloigne de la pension, Le coeur lourd, les pensées chaotiques, elle s'enfuit." Décris son pouvoir; Mmh... Se transformer en un monstre sanguinaire à la venue de la lune dans le ciel de velours... Mais est-ce vraiment considéré comme un pouvoir ? Et ses yeux peuvent parfois hypnotiser certaines personnes... Décris son physique; J'attendais son arrivée avec impatience. Enfin, j'entendis son pas léger, son pied nus frôlant l'herbe grasse. Je souriais intérieurement. Elle savait qu'elle ne pourrait échapper à son sort. Elle apparue en haut de la colline, son visage pâle baissé. Ses cheveux, violets au jour mais plutôt d'un bleu marine sous ma lumière tamisée claquaient en tout sens. Tout en elle exprimait la rébellion, mais elle n'avait pas cette possibilité. Ses lèvres très pâles, aux courbes gracieuses, laissèrent échapper un soupir qui me ravit. Je la laissait profiter encore quelques instants de son humanité, puis j'intensifiai la lumière blanche que je produisais, dardant mes rayons mortels sur elle. Alors, elle releva ses yeux. Cette fois encore, ils me surprirent. D'un noir profond, intense. Jamais je n'avais vu de pupilles pareil. Je restais un moment à les contempler, ces yeux résignés. Puis je me défis de cette emprise étrange, et je changeais la nature de cette jeune fille ravissante, cherchant tout au fond d'elle la bête qu'elle renfermait. Je fit appel à ce monstre, et il ressurgit avec plaisir. Ami eut un dernier sourire amer avant de subir la pire des souffrances. Son joli visage ovale se tordit de douleur. Ses yeux se rétrécirent. Son dos se cambra, sa poitrine généreuse s'aplatit. Elle ouvrit la bouche, laissant entrevoir deux canines tranchantes. Un faible et long gémissement rauque s'échappa de sa gorge. Sa peau très pâle frémit. Ses longues jambes fines ne la portant plus, elle tomba à genoux sur le sol. Ses doigts, longs et fins eux aussi, à l'instar de ses jambes, se terminaient maintenant par des griffes puissantes. Des oreilles grises poussèrent sur ses cheveux mauves. Lorsque la dernière étape de la transformation s'acheva, lorsqu'elle fut recouverte par une fourrure grise, elle me regarda de nouveau. Mais à présent, c'était moi qui avait tout contrôle sur elle. Seul ses yeux me vouaient encore une haine intense, et restaient ceux d'une jeune fille rongée par les remords et la tristesse. D'une jeune fille détruite. Elle s'enfuit vers la forêt, mais je la suivis du regard, impatiente de découvrir quel crime elle allait encore commettre cette nuit, avant de tout oublier lorsque je disparaîtrais à l'horizon. Décris son caractére; Pendant qu'elle courait au fin fond de la forêt, et qu'elle cherchait une proie pour se nourrir, je l'espionnais. A dire vrai, cet être m'intriguait beaucoup. Elle laissait libre cours à ses pulsions et ne s'enfermait pas, enchaînée, la nuit, comme le faisait beaucoup d'autres. Acceptait-elle sans difficultés aucune ce qu'il lui arrivait? Non. C'est pour ça, pour tenter de la comprendre, que je m'infiltrais régulièrement en elle, et que je lisais ses pensées comme un livre ouvert. C'est donc au fil du temps que j'ai appris à la connaître, comme elle a fait de même pour moi. Elle me haïras toujours autant, je le sais, et je la ferais toujours autant souffrir, sans remords. Parce que c'est ainsi, parce que c'est mon rôle. Néanmoins, nous sommes liées à jamais, elle le sait. Mais elle ne peut s'empêcher d'espérer.... J'aimais voir les deux côtés de cette jeune fille. Son côté humain, et son côté bestial. Et même si elle ne s'en rend pas compte, les deux finissent par se mélanger. Le loup fait partie de son caractère. Sans lui, elle mourrait certainement. Et elle le sait. Je fouille ses souvenirs à la recherche de ses amis, de tout ces liens qu'elle a noué avec ceux qu'elle a rencontré. Et je découvre peu à peu que beaucoup de personnes l'apprécie. Oui, en un mot, elle est attachante. Mais je ne comprends pas. Tous ces gens n'ont-ils pas peur ? Il faut croire que non. A moins qu'elle ne leur dit pas la vérité. Mais c'est impossible. Elle déteste les mensonges. Elle est franche, elle n'est pas capable de mentir. D'ailleurs, elle préfère toujours dire directement ce qu'elle pense. Même si ca fait mal. Je découvre aussi sa générosité. Sa gentillesse. Oui, paraît-il qu'elle veut toujours aider les autres. Pourtant, elle donne difficilement sa confiance. Et puis, sous cette forme, en train de dévorer un pauvre lapin trop lent, elle ne semble pas si aimable que ça... Elle veut surement racheter les crimes qu'elle a commis. Ne sait-elle donc pas que c'est impossible ? Si. Mais elle n'as pas trouvé d'autres buts à sa vie. En réalité, elle cache une colère profonde, mais il est rare qu'elle la montre. Mais un jour, cette haine explosera. Je le sais. Je le sens. Elle aussi. Et ce jour là, qui pourrait prédire ce qu'elle fera ? Personne. Pas même moi. En attendant, elle met sa bonté naturelle au service des autres. Directe, franche, gentille, mais d'une fragilité terrible. Car la louve et elle n'ont toujours pas trouvé terrain d'entente. En tout cas, elle a horreur des menteurs, des lèches bottes, et de tout ce qui s'en approche. Si vous êtes comme ça, il y a de grandes chances qu'elle ne vous apprécie pas. Quoique... On dirait qu'elle aime tout le monde, cette fille. Ou alors, elle essaye de comprendre tout le monde. elle sait qu'il n'y a pas qu'elle qui a souffert. Un jour, cette naïveté va la perdre... Chaque nuit qu'elle passe à tuer, elle veut les rattraper chaque jour en étant ainsi... Mais elle ne pourra pas sauver le monde. Elle mène son existence en souffrance, en espérant qu'elle pourra marquer la Terre de son passage... Décris un moment "clés" de son histoire ou son histoire complète; Dès qu'elle est née, je sus qu'elle serait parfaite. Que ce serait une magnifique nouvelle victime. Ses cheveux étaient déjà d'une couleur particulière. Seul ces yeux me firent hésiter, un court instant cependant. Mais un simple petit pouvoir n'allait pas me faire renoncer au destin d'une jeune fille prometteuse. Elle vécu dans la bonheur, mais pas excessif, et dans la paix. Jusqu'au jour de ses 10 ans. Jusqu'au jour ou je décidai d'agir. Ce jour, ou je décidai de foutre sa vie entière en l'air. Ou je décidai du malheur et de la souffrance éternelle d'une jeune innocente. Le matin, donc, du lendemain de ses dix ans, la petite Ami ouvrit les yeux. Je la surveillai de près. Tout de suite, je compris qu'elle avait sentie que quelque chose avait changé chez elle. Intriguée, mais sans le montrer, elle se leva, comme d'habitude, descendit, dit bonjour à ses parents... Et monta dans la salle de bain, brosser ses dents. J'étudiai attentivement sa réaction -lorsqu'elle se présenta face au miroir- avec un sourire cruel et une impatience débordante. Le petite fille (qui n'en était plus vraiment une, à présent) remarqua tout de suite les petites touffes de poils qui poussaient sur le sommet de son crâne. A ma grande déception, elle ne réagit pas. Elle se brossa les dents, tout à fait normalement. Mais je savais qu'elle réfléchissait intensément, et qu'elle était perturbée par cet étrange phénomène. Plus tard, elle remarqua ce qui allait devenir une jolie queue de loup, quand elle s'habilla. Au bout de quelques heures ou elle resta, à lire un livre qu'elle ne lisait pas vraiment, elle réagit enfin. Mais absolument pas comme je m'y attendais. Après avoir longuement réfléchi, son visage se fendit d'un grand sourire. Ce n'est que plus tard que je compris la raison de cette joie : Ami, naïve, avait cru devenir une neko, ces filles-chats que je détestais tellement. Ayant compris ca, j'éclatais d'un grand rire. Quelle serait sa déception, quand elle apprendrait qu'elle n'était qu'un vulgaire monstre bestiale ! Au fur et à mesure qu'elle grandissait, elle s'embellissait, et ses oreilles et sa queue poussait. Après quelques mois, ses parents le remarquèrent enfin. Mais eux savaient. Ils savaient ce qui allait arriver. Mais ils ne dirent rien à la fillette, persuadés qu'il était trop tard. Effectivement, ils n'avaient pas tort. Ami, malgré sa joie, était teinté d'un doute : pourquoi ses parents avait ils si mal réagi ? Pourquoi, le soir d'après, elle avait entendu des cris mentionnant son nom ? Et pourquoi, enfin, sa queue ne poussait pas comme une queue de chat, fine et gracieuse ? Pourquoi la sienne formait-elle une touffe abondante ? Quelques nuits plus tard, je la sentis enfin prête. Elle était au combles des doutes, les questions se bousculaient dans sa tête, elle faisait des cauchemars chaque nuit. Alors, cette nuit là de pleine lune (je voulais qu'elle me voit en entier), je la laissai se coucher, tranquillement. Elle ne fit aucun cauchemar. Le l'observai dans son sommeil, attentive à la moindre de ses pensées, au moindre geste, au moindre tressaillement. Car ce que je m'apprêtais à faire n'était pas chose facile. Il y avait de grandes chances qu'elle meure dans la transformation... Mais elle semblait résistante. A 1 heures du matin, je la réveillai, m'infiltrant dans son esprit. Elle se leva, endormie, me jeta un coup d'œil par la fenêtre. Je soutins son regard étrange. Elle sortit dans le jardin, sous mon commandement. Nous nous observâmes un long moment. Je savais qu'elle avait compris, même si son esprit de petite fille ne pouvait pas l'assimiler. Toutes ses pensées étaient dirigées vers moi. Elle s'assit dans l'herbe, luttant contre ma force invisible qui la contrôlait. Et je débutais la transformation. Je compris tout de suite qu'elle allait survivre. Ce ne serait bien sur pas une partie de plaisir pour elle, mais elle vivrait. C'est ce qui comptait. Ses yeux toujours aussi troublants trouvèrent le moyen de me narguer, et je terminais la métamorphose avec rage. Il était trop tard, elle mènerait désormais une existence... Hors du commun. La jeune Ami était une louve. Pendant une nuit, ce ne serait plus qu'un animal, aux instincts primitifs. Car oui, la première transformation ne laissait pas de place pour l'humain. C'était trop... Puissant. Surtout pour une fillette de 8 ans. Le loup regarda autour de lui. Sa poitrine se soulevait rapidement, au rythme de son souffle régulier. On voyait que ce n'était pas vraiment un adulte. Ses griffes étaient toute neuves, ses crocs également. Son pelage était encore très clair. Il était parfait pour un premier repas. Désormais, je n'aurais plus à intervenir cette nuit. Je laisserais faire l'animal. Enfin, l'animal... On ne pouvait pas vraiment l'appeler comme ça. Bien que l'esprit humain eut presque disparu, cette bête était plus dangereuse qu'un simple loup. Elle ne connaissait pas la peur, et ne fuirait pas devant un simple feu destiné à l'effrayer. Elle était toujours affamé, et ne se contenterait pas de petites proies. Et surtout, elle était plus puissante. Ses muscles, bien que peu entraînés, roulaient déjà sous son pelage, ses yeux foudroyants savaient repérer instantanément la source de chaleur la plus proche, et ses griffes déchiraient n'importe quoi. Donc, "Ami" balaya son jardin de ses prunelles, et, après avoir paniqué un peu, franchit d'un bond la palissade qui le séparait de la route. Elle la traversa, le museau à terre, découvrant ses tous nouveaux sens. Dans son esprit, c'était comme si elle venait de naître. Elle fonça dans la forêt, et elle découvrit la vitesse. Les arbres défilaient, et elles savait d'instinct ou poser ses pattes, comment orienter son corps de façon à ne heurter aucun tronc. Elle calculait naturellement chaque trajectoire qu'elle avait la possibilité de prendre, et son cerveau faisait le tri. Elle n'avait qu'a se laisser porter, profitant de la saveur du vent, des odeurs de la forêt. Elle courut ainsi longtemps, avant de se rendre compte qu'elle percevait une senteur étrange, et qu'elle se dirigeait droit dessus. Elle inspira de nouveau, et sa bouche explosa. Cette odeur était exquise. Il fallait qu'elle la rattrape. Les yeux grands ouverts, la langue sèche, elle accéléra. Je souris. Elle allait découvrir le goût du sang, et du sang humain. Elle allait tuer. "Je tentais d'ouvrir les yeux, mais mes paupières étaient collées. Je tentais de bouger les doigts, mais je ne les sentaient plus. Ce fut pareil pour tous les autres membres de mon corps. Je me demandais un instant si je n'étais pas morte. Je me rendis compte que non en perçevant la douleur atroce qui me figeait et qui me faisait oublier tout le reste. Je n'avais plus l'impression d'avoir 8 ans, plutôt 1 000. Je ne m'étais jamais sentie aussi vivante, face à cette souffrance que je ressentais partout. J'entrouvris mes lèvres, et laissais s'échapper un long gémissement. De toute façon, personne ne m'entendrait. Je restais allongée sur ce qui me semblait de la terre pendant de longs moments, dont je ne saurais dire exactement la durée. Peut-être des heures, peut-être des jours. Néanmoins, je n'eut pas l'impression de sentir le soleil se coucher. Cela dit, dans l'état ou j'étais... Je passais tout ce temps à tenter de me souvenir de ce qui s'était passé. Ou était ma maison ? Ou était ma famille ? Malheureusement, une seule image restait dans mon esprit : celle de la lune, pleine et blanchâtre, qui semblait immense. Je finis par distinguer deux points, dans mon corps, particulièrement douloureux. Lorsque je me concentrais, ils se détachaient nettement du reste de mes embres en feu. Je mis encore de longues minutes à les identifier : mes oreilles, et ma queue. Les questions et les doutes qui m'avaient envahie jusqu'a la nuit dernière (j'avais à présent une notion un peu plus précise du temps écoulé) remplirent de nouveau mon esprit. Mais je ne pus davantage leur donner de réponses. Je savais que quelque chose clochait, et plusieurs vérités s'imposèrent à moi : 1 - Je n'étais pas une neko. 2 - J'étais donc autre chose. 3 - Mes parents savaient ce que je suis. J'en déduisis naturellement qu'il fallait que je me mette à leur recherche. Je tentais de nouveau de bouger, et y parvint. Bien sur, j'eu atrocement mal. Avec un grand effort de volonté, je me relevais légérement, et ouvrait les yeux. La lumière m'aveugla pendant assez longtemps, mais je finis par m'y habituer. Je jetais un regard autour de moi : les arbres, partout. Je vis que j'étais nue, et je me posais encore plus de question. Mon corps était meurtri de dizaines de bleus, et griffures. Et soudain, mes yeux se posèrent sur deux formes. A l'air légérement humaines. Mais leur peau était déchiquetée, et isl baignaient dans une mare de sang. Mes yeux se détournèrent instinctivement, et un goût amer me remonta dans la bouche. Quelque chose me poussa néanmoins a les regarder de nouveau. Leurs traits m'étaient familiers. je bondis en arrière, le visage figé dans une expression d'horreur intense. Les larmes coulèrent automatiquement, comme une réaction chimique à un quelqueconque événement. Les visages à moitié détruits que je voyait là, je les connaissait. C'était mes propres parents. Partout sur eux, des traces de morsures et de griffures. Et à côté d'eux, un petit papier, ou on lisait encore clairement : "Nous savons ce que tu es. Nous n'avons pas eu le courage de t'en parler. Nous sommes désolés. Nous reprendrons contact avec toi plus tard, si tu le veux bien. Nous t'aimons." Ils comptaient surement déposer ce mot à l'orée de la forêt, ouu quelque part en évidence, là ou je le trouverait forcément. Je me souvenais à présent de tout. Je tombais à genoux, incapable de parler, incapable de pleurer, je ne pouvait plus rien faire. Je me laissais tomber sur l'herbe, sans bouger. Je l'aissait les émotions m'envahir, me posséder. Ce que je ressentait était inimaginable. J'avais tué mes parents. Je restais ainsi, comprenant que je n'avait plus qu'a attendre que la nuit lme possède de nouveau, complétement détruite." https://www.youtube.com/watch?v=_dWB4dyl-lw

	& Administration ?
	Code; Yes We Can't. Voulez vous un tuteur ... ?; Non merci :'D ... Comment avez vous connu le forum ... ?; C'est Akimito qui m'en a parlé. Autre(s) chose(s) ... ?; Non. '^'. Validé par;

Je suis tombée amoureuse de la description physique ! *Q*
Et faire parler la lune est vraiment une super bonne idée. (Y)
J'ai un peu plus de mal avec la présentation morale (va savoir pourquoi, elle est pourtant bien èè") mais bon, je vais pas faire ma chiante, elle est complète et présente bien le caractère d'Ami...
Faut juste que tu rajoutes trois lignes pour ses goûts...
Vivement l'histoire !! C'est super, bravo *o*

Eh Ho. J'AI FINIIIIIIIE T____T. A l'arrache, ok, mais j'ai fini ! :')
EDIT : C'est Ami, enfait. '-'